Mes cols
Mes 345 cols
1972
Dans le massif des Vosges
1972, c’est l’année ou j’ai effectué mon service militaire au 153 RI MECA de Mutzig, et ou j’ai pu, malgré tout, faire quelques sorties à vélo. Une mention particulière pour le Col du DONON, un col relativement facile, mon tout premier, celui qui m’a donné envie d’en monter d’autres. Sinon, je recommande le Rocher du DABO par Lutzelbourg, une ascension particulière, un petit Puy de Dôme en Alsace.
Col du Donon (718m) par Schirmeck) (10km)
Le Champ du Feu (1100m) par Rothau (21km)
Le Kreuzweg (708m) par Villé (7km)
La Charbonnière (960m) par le Kreuzweg (10km)
Le Champ du Feu (1100m) Par le col de la Charbonnière (12km)
Le rocher de Dabo (587m) par Lutzelbourg (9km)
Col de Valsberg (682m) par Dabo
Col du Nideck (662m) par Wangenbourg
1988
Cévennes
1972 – 1988 Une quinzaine d’années ou j’ai la pluparts du temps fait de la compétition, remportant une trentaine d’épreuves, dont la moitié en 2è catégorie (Nationale). Pendant ces années, et aussi pour des raisons professionnelles, je ne prenais que très peu de vacances.
Donc en 1988, à l’occasion d’un séjour chez mon frère ainé, j’ai eu la possibilité de renouer avec la montagne. Je recommande le mont SAINTE-BAUDILLE par le petit village d’Arboras (Hérault), ascension assez facile dans des paysages somptueux, Le Pic SAINT-LOUP qui se résume à une petite côte et l’AIGUAL par Valleraugue, longue montée assez roulante et toute en lacets de 26km (Je ne compte pas le faut-plat qui le précède). Un conseil, se méfier du temps. Même en plein été, il peut faire très froid là-haut. Cette année là, par une vingtaine de degrés dans la vallée, malgré les recommandations de mon frère, Daniel, je suis parti en petite tenue. Au sommet, pas plus de 5 degrés, un vent fou et juste le temps de se mettre à l’abri dans la voiture du frangin, venu me récupérer…
Mont Sainte-Baudille (827m) par Arboras (14km800)
Pic Saint-Loup (244m) par Tréviers (4km)
Le Mont Aigoual (1567m) par Valleraugue (26km)
1989
Louvigné– Nîmes
1989 Première descente à vélo à Nîmes (5jours de traversée de la France du nord au sud, qui resterons, comme un bon souvenir, gravés dans ma mémoire) Une traversée passant par le Val de Loire, la Région de Guéret, le lac de Vassivière, le plateau de Millevaches, le massif du Cantal, la Lozère, la Corniche des Cévennes, avant la descente sur la plaine ensoleillée du Languedoc.
Un col que je recommande, le col de SERRES à partir du petit village du Clauxet, au sommet duquel, on peu continuer jusqu’au col du PUY-MARY (5km de plus). Chose que je n’ai malheureusement pu faire en 1989, le sommet étant obstrué par la neige tombée en abondance la semaine précédent mon périple.
Col de Massoubre (815m) Plateau de Millevaches (7km)
Cantal
Côte de Riom-es-Montagnes (947m) par Antignac
Col de Serres (1335m) par le Claux (6km)
Col d’Entremont (1210m) par Dienne
Cévennes
Col de Montmirat (1045m) par Balsièges) (5km)
Col des Faisses (1026m) par Florac (9km)
Col de Saint-Pierre (597m) par la corniche des Cévennes
Col de l’Exil (705m) par la corniche des Cévennes
1989
Alpes (Dévoluy)
1989 c’est aussi l’année ou j’ai vraiment fait connaissance avec la haute montagne. Ayant loué dans le village de Pellafol, au pied de l’Obiou face au lac du Sautet. (Massif du Dévoluy)
2 cols retiennent mon attention. Le fameux col du NOYER par Saint Bonnet. Là ou dans un tour de France Louis Ocana avait réussi à lâcher Eddy Merckx (6km500 seulement, mais un véritable mur, prévoir du braquet). La montée à N. D. de la SALETTE (Très belle montée assez rude et longue, surtout si l’on vient du barrage (15km500). Au retour, avant de rentrer de vacances, j’ai tenu à faire un petit crochet pour aller gravir L’ALPE D’HUEZ (Bon… pas besoin de vous dire qu’il est dur et le plus souvent baigné de soleil. Dès le premier virage on est fixé)
Col du Noyer (1664m) par Saint-Etienne-en Dévoluy (8km)
Col du Noyer (1664m) par Saint-Bonnet-en-Champsaur (6km500)
Montée de N. D. de la Salette (1770m) par le barrage du Sautet (15km500)
Col des Accarias (1070m) par la Mure
Col de Saint-Sébastien (926m) par Mens
Col de Festre (1441m) par Saint Disdier
Col de Rioupes 1430m) par Saint-Disdier
Montée de l’Alpe-d’Huez (1800m) par Bourg-d’Oisans (13km)
1990
Massif du Caroux (Haut Languedoc)
1990, nous avions élu domicile à Saint-Martin-de-l’Arçon, petit village situé au pied des monts de l’Espinouse dans le parc régional du Haut-Languedoc (Région peu connue, mais qui mérite le détour)
2 cols intéressant. Le col de FRONFROIDE par Olargues (belle montée d’une douzaine de km. en lacets) et surtout ce col à 5 étages qui mène jusqu’au sommet de l’ESPINOUSE.A partir du village de Poujol, une petite route à l’entrée du pays monte, bordée de Châtaigniers sur 7km passant par le petit village de Combes, pour atteindre un premier palier (le col des PRINCES 588m) Ensuite la pente s’adoucie, la nature change. Plus de Châtaigniers, remplacés par de petits résineux. Km 10 on arrive à un croisement qui marque le col de MADALE (692m). Prendre alors la direction de ROSIS, passant devant l’église, seule à l’écart du village. Peu après, km 13 on arrive au col des AVELS (802m). Cà continue de monter en pente douce. Dans un décor de champs de bruyères.Km18 on atteint le col de L’OURTIGAS (990m). Légère descente et l’on franchi le PAS DE LA LAUZE, avant d’entrer dans une forêt de sapins et d’arriver (km22) au sommet de LA CROIX DE L’ESPINOUSE (1119m). Un des plus jolis cols qu’il m’a été donné de monter, pour la variété de ses paysages, un col facile, 22kilomètres, le plus souvent en pente douce, malgré ses 995mde dénivelé. Je le conseille à tous ceux qui passeront dans ce petit coin de France.
Col de Frontfroide (971m) par Olargues (12km)
Col de Pierre-Plantée (509m) par Lamalou-les-Bains (9km)
Col des Treize-Vents (600m) par Hérépian (10km)
Col de la Croix-de-Mounis (800m) par Saint-Gervais-sur-Mare (11km)
Col du Suc de Calen (613m) par le Pin (10km)
Col de l’Ourtigas – Sommet de l’Espinouse (1122m) par le Poujol-sur-Orb (22km)
1991
Massif de la Chartreuse
1991, c’est au cœur du massif de la Chartreuse que passons nos vacances à Saint-Pierre-d’Entremont. Une partie de ce bourg se trouvant en Savoie et l’autre en Isère, donc deux mairies, deux églises, etc. une des particularités de la France…
En Charteuse, tous les cols sont durs, en particulier, le terrible col du Coq avec des passages à 16%. Même chose pour la montée de Fort-Eynard, mais s’il faut en retenir un, ce serait le col du GRANIER que l’on peu accéder par trois côtés, le plus facile étant par Saint-Pierre-d’Entremont, le plus joli par Chambéry et leplus difficile par Chapareillan.La montée ou j’ai pris mon plus gros coup de barre en montagne m’obligeant à mettre pied à terre à trois kilomètres du sommet.
Il faut dire que j’étais parti le matin avec l’intention de faire une petite sortie de 70km. Commençant l’ascension du Granier par Entremont, je rattrape un cycliste de la région de Rouen, dont c’est le premier jour de vacances. Nous décidons alors de rouler ensemble pour ce qui doit être une petite sortie. Mais voilà, les kilomètres passent et que je ne trouve pas mon itinéraire retour. De plus, je sens mon compagnon d’un jour faiblir. Impatient, je prends une petite route de montagne qui a pour conséquence de nous faire franchir un nouveau col (MARCIEU ?) Je ne sais trop ou je suis et mon compagnon est maintenant à la traine.
En haut du col, en attendant mon collègue, j’arrête un cycliste de la région pour lui demander des renseignements. Et, malheur, je l’entends dire que cette route ne débouche pas… Il n’y a plus qu’à refaire le chemin inverse. Mon acolyte n’est pas content et se demande dans quelle galère il s’est embarqué, d’autant plus que ni lui, ni moi n’avons pris le moindre ravitaillement.
Et ce qui devait arriver arriva. Chapareillan. Il est tout juste midi quand nous abordons le pied du GRANIER. 10km d’ascension, pas mal de km dans les jambes… qui ne répondent plus. La suite… Je n’en suis pas très fier. J’ai abandonné mon compagnon d’infortune, (qui était pire que moi) dés les premiers hectomètres du col.Ensuite.Hé bien, j’ai monté comme j’ai pu mettant par trois fois pied à terre avant le sommet, bien content, une fois arrivé là-haut, qu’il ne m’ait pas rattrapé (Il m’aurait tué…) Je suis arrivé au gite13heures passées, ma petite famille sur le qui-vive. Quand àmon compagnon, que je n’ai jamais revu par la suite, il n’a pas du renter avant 15heures. Ces proches ont certainement du s’inquiéter, les portables n’ayants pas encore fait leur apparition à cette époque. Un conseil, partez toujours avec quelque chose à manger dans vos poches… Surtout en montagne.
Col de Couze (624m) par les Echelles (6km)
Col du Granier (1134m) par Chambéry (15km)
Col du Granier (1134m) par Chapareillan (10km)
Col du Granier (1134m) par Saint-Pierre-d’Entremont (10km)
Col du Cucheron (1139m) par Saint-Pierre(Chenevey) (9km)
Col du Cucheron (1139m) par Saint-Pierre (Le Villard) (9km)
Col du Cucheron (1139m) par Saint-Pierre-de-Chartreuse (5km)
Col du Coq (1434m) par Saint-Pierre-de-Chartreuse (10km)
Col de Marcieu (1050m) par le Touvet (10km)
Col de Porte (1326m) par Saint-Pierre-de-Chartreuse (10km)
Col de Porte (1326m) par le Sappey-en-Chartreuse (6km)
Montée de Fort-Eynard (1400m) par le Sappey-en-Chartreuse (4km)
Col des Egaux (958m) par Saint-Jean-de-Couz (8km)
Col de la Cluze (1169m) par le Corbel (6km)
Montée de la Ruchère (1042m) par les gorges du Guiers Vif (6km)
1992
Louvigné – Nimes
1992, nouveau départ pour Nîmes, toujours sur cinq jours, mais, à l’arrivée, moins de plaisir que la première fois. Il faut dire que je partais un mois plus tôt (début avril par un temps froid et sous une belle gelée blanche)
Mon itinéraire, cette fois. La Touraine, Thiers etles monts du Forez, le Puy-en-Velay et le plateau Ardéchois, Vallon-Pont-D’arc et les Gorges de l’Ardèche.
S’il faut retenir une montée, ce serait la montée au mont GERBIER-DU-JONC, 30km de montée, entrecoupés de rares et courts replats, depuis la sortie du Puy-en-Velay par le Monastier, les Estables (992m) de dénivelés. J’ai traversé le plateau encore enneigé, le soir vers 6heures et sous des averses de grésil (Un peu lugubre…) Je vous conseillerais cette ascension plus tard dans la saison …
Cote de la Chaise-Dieu (1082m) par Arlanc
Col de la Croix de l’Arbre (1004m) (Monts du Forez)
Le mont Gerbier-du-Jonc (1551m) par les Estables (Mont Ardêchois)
1992
Au Pays Basque
Eté 1992, nous sommes en vacances dans une ferme près de Saint-Jean-Pied-de-Port. Tous les cols du Pays Basque sont à fort pourcentage, donc très durs. J’ai pu particulièrement apprécier le dur BURDINCURUTCHETA qui emmène vers la belle forêt d’Iraty, Le col d’APHANIZE, à partir du village de Béhorléguy, qui débouche sur un très beau plateau, ou, le plus souvent, paissent de nombreuses brebis, et d’où l’on peut apercevoir les sommets Pyrénéens enneigés.
Etsi vous voulez monter vraiment un col dur, il faut aller gravir (c’est le mot juste) celui que je nommerais le col d’ARTHE par le village d’Estérençuby (8km seulement, mais 810m de dénivelé, 100m par km, un des cols les plus durs qu’il m’est été de monter).Continuer 3km dans la vallée jusqu’à un croisement. Prendre alors la petite route qui monte à gauche, vous y êtes… Passé ce col, on arrive sur d’immenses pâturages qui bordent le sommet d’Occabe En continuant, on arrive aux chalets d’Iraty. On peut alors revenir à Saint-Jean-Pied-de-Port par le BURDINCURUTCHETA, moins dur de ce côté (55km environ)
Le col d’ARTHE, ce col qui m’a marqué (physiquement) alors que faisant le parcours inverse décrit ci-dessus, j’ai lourdement chuté dans les derniers lacets de la descente. Me relevant, une main ensanglantée et trois doigts bien abimés, le côté gauche complètement râpé et une grosse bosse au front, je suis quand même remonté sur mon vélo. Ensuite… C’est le trou noir ; Combien ai-je parcouru de kilomètres sans m’en rendre compte ? (entre 3et5). Toujours est-il qu’au bout d’un certain temps, je me suis comme réveillé incapable savoir ou j’étais ni ou j’allais.
Je me rappelle alors m’être arrêté devant une scierie, m’être assis sur une bille de bois attendant que la mémoire me revienne, jusqu’à ce que le propriétaire vienne me voir et, constatant mon état, décide de me ramener. Le plus cocasse, c’est quand il m’a demandé mon adresse, je ne m’en rappelais pas encore. Ce n’est que quand il a cité Saint-Jean-Pied-de-Port que le déclic s’est produit dans me tête et que J’ai pu alors lui dire « Allez y, çà me revient… » Mais c’est une drôle de sensation et je ne là souhaite à personne.
L’après-midi, malgré un bon mal de tête, j’ai voulu en avoir le cœur net et revoir l’endroit exact ou ma chute s’était produite. Je me suis rendu compte alors des kilomètres que j’avais parcourus sans m’en apercevoir, Depuis ce temps, malgré un réel plaisir à descendre les cols, je suis assez prudent, j’assure…
Col d’Ispéguy (672m) par Saint-Etienne-de-Baïgorry (8km)
Col d’Ispéguy (672m) par Erratzu (Espagne) (9km)
Col d’Haltza (782m) par Mendive (7km)
Col de Burdincurutchéta (1135m) parMendive (13km)
Col de Bagargui (1327m) par les châlets d’Iiraty (7km)
Col d’Osquich (392m) par Mauléon-Licharre (6km500)
Col d’Aphanize (1055m) par Béhorléguy (10km)
Col de Sourzay (1109m) par Iraty (6km)
Col d’Arthé (1104m) par Estérençuby (8km)
Col d’Orgambidé (988m) par Estérençuby (10km)
Col d’Arnostéguy (1236m) par le col d’Orgambidé (15km)
1993
Castellane (Alpes de Haute-Provence)
En 1993, nous étions à CATELLANE, à l’entrée des GORGES DU VERDON. Pas de cols vraiment durs dans cette région, mais beaucoup de plaisir à rouler sur des routes magnifiques.
Je conseillerais à tous, le tour des GORGES DU VERDON (à faire plutôt hors saison vu la circulation en juillet et aout) Il faut compter 125km et ce n’est pas toujours plat. Il vous faudra franchir, entre autre,le col d’AYEN (1032 m) puis, au retour, le col d’ILLOIRE (1201 m) long d’une bonne dizaine de kilomètres. Et si vous n’en avez pas assez, vous pouvez encore faire un petit détour par le col du COLLET-BARRIS, au dessus du sentier MARTEL qui offre les vues les plus impressionnantes sur les gorges (compter 23km de plus)
Vous pourrez aussi faire le tour des CLUES DE HAUTE-PROVENCE.Petites routes agrémentée de quelques belles côtes et de jolis villages à l’écart de toute grande circulation. Un circuit indiqué dans le guide vert Michelin d’environ 100km à partir de CASTELLANE, par le lac de CHAUDANNE, le col de SAINT-BARNABE, la CLUE de SAINT-AUBAN, le col de PINPINIERla CLUE D’AIGLUN, la CLUE DU RIOLAN, la côte de BRIANCONNET (En option, le COL de BLEINE, petite montée de 4km environ tout en lacets)
Enfin, je vous recommande la montée à la station de VALBERG (1673m) par les GORGES DE DALUIS. A l’entrée du village de GUILLAUMES, tout à droite, ici commence 13km500 d’une bonne montée. Je vous conseillerais de revenir par les très belles GORGES DU CIANS creusées dans des Schistes rouges.
Col de la Croix du Sapet (station de Valberg) (1673m) par les gorges de Dalluis (13km500)
Col des Leques (1148m) par Castellane (10km)
Col des Leques (1148m) par Senez (9km)
Col des Robines (988m) par Barrême (3km500)
Col des Robines (988m) par Saint-André-des-Alpes (3km500)
Col de la Croix de la Mission (1149m) par le barrage de Chaudanne
Col de la Croix de la Mission (1149m) par le lac de Castillon (6km)
Col de Toutes Aures (1120m) par Annot (10km)
Col de la Colle Saint-Michel (1431m) par Thorame-Haute (8km)
Col de Luens (1054m) par Castellane (6km)
Col de Luens (1054m) par le Logis-du-Pin (6km)
Col de Saint-Barnabé (1365m) par Demandoix (5km)
Col de Saint-Barnabé (1365m) par Saint-Auban
Cote de Saint-Auban (1065m) par Soleilhas
Cote de Briançonnais (1065m par Mujouls (10km)
Col de Pinpinier (1130m) par la clue de Saint Auban (8km)
Cote d’Aiglain (1257m) par le Mas (8km)
Col de Bleine (1439m) par Saint-Auban (5km)
Col du Collet-Barris (1459m) Gorges du Verdon
Col d’Ayen (1032m) Gorges du Verdon
Col de l’Olivier (711m) Gorges du Verdon
Col d’Illoire (1201m) Gorges du Verdon
Col de la Colle Saint-Michel (1431m) par Thorame-Haute (8km)
1994
Morzine (Haute-Savoie)
En 1994, retour à un menu plus consistant avec les durs cols de la RAMAZ, de JOUX VERTE et de JOUX PLANE. Sinon, j’ai bien aimé l’ascension du col de la COLOMBIERE par le Reposoir. Longue montée comme je les aime, assez roulantes de 18km. Mais attention au retour, il faut monter la dure côte de CHATILLON, 4km seulement, mais dont les premiers lacets font penser à ceux de l’ALPE D’HUEZ. Enfin encore, un col intéressant, le col de BASSACHEAU par CHÂTEL et ces 12km d’ascension, menant à une petite station de sport d’hiver.
J’ai aussi participé cette année là, à la montée chronométrée qui a lieu chaque dimanche matin d’été, de Morzine à la station d’Avoriaz, mais rassurez vous, je n’ai pas battu le temps de Bernard Hinault qui est de 33mn pour une distance de 14km. Montée assez roulante, mais malgré mes 43 ans (la pleine force de l’âge), je n’étais pas dans un grand jour (48mn28) ¼ d’heure de plus qu’Hinault… Un peu déçu.
Col de Joux Plane (1712m) par Morzine (10km)
Col de Joux Plane (1712) par Samoëns (10km)
Col de Joux Verte (1760m) par Morzine (14km)
Col de Joux Verte (1760m) par les Lindarets (13km)
Col du Corbier (1235m) par le Biot (8km)
Col du Corbier (1235m) par Bonneveau (5km)
Col de Bassachaux (1783m) par Châtel (12km)
Col du Feu (1117m) par Lullin (3km)
Col de Cou (1116m) par Draillant (8km500)
Col de la Ramaz (1559m) par Mieussy (15km)
Montée des Gets (1163m) par Morzine (7km)
Montée des Gets (1163m) par Taninges (12km)
Côte de Châtillon (1100m) par Taninges (3km)
Côte de Châtillon (1100m) par Cluses (5km)
Col de la Colombière (1618m) par Cluses (18km)
1995
Arette (Pyrénées Béarnaises)
En 1995, retour dans les Pyrénées, que j’avais décidé de faire, vallées les unes après les autres. Précisément à ARETTE, petit village au pied du col de la PIERRE-SAINT-MARTIN en parti détruit par un tremblement de terre le 13 aout 1967
Et s’il faut en retenir un, c’est bien ce col de la PIERRE-SAINT-MARTIN que l’on peut accéder aussi bien, par ARETTE (pour moi la plus belle) par les cols de SUSCOUSSE et du SOUDET, par le col de LABAYS, ou bien, encore par le côté Espagne, le PORTILLO DE ERAICE.
Si vous êtes en forme, je vous conseille ce très beau et dur circuit de 120km (que j’ai effectué dans les deux sens), partant d’ARETTE, montant à la PIERRE-SAINT-MARTIN pour passer en Espagne jusqu’à l’entrée du village d’ISABA (km52), prendre à droite vers UZTARROZ et le PORTILLO DE LAZAR. (km66) prendre à droite, vous commencez les 11km d’ascension menant au sommet de PORT DE LARRAU (très dur dans le sens inverse, passant par le col d’ERROYMENDY). Après un arrêt là-haut pour profiter du très beau panorama, vous n’aurez plus qu’à descendre côté Français vers LARRAU et rejoindre la vallée via TARDETS-SORHOLUS (km105) et à droite retour à ARETTE (120km)
Il y a aussi le col de MARIE-BLANQUE par ESCOT, 10km d’ascension, très facile… au début, mais plus on monte et plus ça monte, les derniers kilomètres étant très dur, si bien qu’à chaque fois que j’y suis passé, aussi bien à vélo qu’en voiture, j’ai vu des cyclistes mettre pied à terre.
En cette année 1995, je participais à ma première cyclo-sportive en montagne (LE DEFI PYRENEEN) partant d’ARGELES-GAZOST. 181km passant par Les cols d’ASPIN, de COUPE, du TOURMALET et pour finir le dur col des BORDERES, obligeant certain concurrents à mettre pied à terre. Je finissais alors, assez satisfait, à la 73è position sur 1018 inscrits, ayant roulé plusieurs kilomètres avec Ducos-Lassalle, alors tout jeune retraité et dans un temps de 7heures :00 :13, mais bien loin du vainqueur du jour, Philippe Bordenave 5heures :47 :56
Col de la Pierre-Saint-Martin (1760m) par Arette (20km)
Col de la Pierre-saint-Martin (1760m) par le Portillo de Eraice (Espagne) (17km)
Col du Soudet (1560m) par le col de Suscousse (19km)
Col de Suscousse (1216m) par Sainte Engrâce (11km500)
Col de Suscousse (1216m) par Lanne-en Barétous (15km)
Col de Lie (601m) par Arette (6km)
Col d’Ichère (680m) par Lourdios-Ichère (6km)
Col de Marie-Blanque (1035m) par Escot (10km)
Col d’Erroymendi (Port de Larrau) (1573m) par Larrau (14km500)
Col d’Erroymendi (1573m) par le côté Espagnol (11km)
Le portillo de Lazar (Espagne) (1129m) coté Ochagavia (3km500)
Le portillo de Lazar (Espagne (1129m) par Uztarroz (6km500)
Le portillod’Eraice (Espagne (1578 m par Isaba (20 km 500)
Col d’Aspin (1489m) par Sainte-Marie-de-Campan (9km)
Col de Coupe (720m) par Hèches (3km)
Col du Tourmalet (2115m) par la Mongie (12km)
Col des Bordères (1156m) par Estaing (10km500)
1996
Besse-et-Saint-Anastaise (Puy de Dôme)
En 1996, nous avions opté pour l’Auvergne et loué à BESSE-ET-SAINT-ANASTAISE. Pour faire plaisir à mes enfants, nous avions emmenés les VTT, donc très peu de route cette année là, mais beaucoup de plaisir et des descentes mémorables depuis le PUY DE MONTCHAL, au dessus du LAC PAVIN, ou encore, cette descente sur MUROL, dont Jean-Michel, l’ainé de mes trois fils se souvient, faisant un beau soleil à un des endroits des plus accidentés de la pente, pour ensuite, sans doute encore étourdi par sa chute, avoir beaucoup de peine à rentrer, par la fameuse forêt de COURBANGES, sous un soleil de plomb. (Une galère de plus pour lui).
Sinon, avec mon fils cadet, OLIVIER (15 ans à l’époque, qui deviendra un très bon cycliste pendant plusieurs années, alliant la compétition à des études d’ingénieur), Avec nos VTT nous avions effectué un circuit sur route de 55km, agrémenté de deux très beaux cols partant de BESSE vers MUROL, le col de la CROIX MORAND, le MONT DORE, et retour par le col de la CROIX SAINT-ROBERT (dans lequel, malgré nos lourds VTT, nous avions réussi à rattraper quelques cyclistes)Puis retour ensuite àBESSE par le ROCHER de L’AIGLE. A faire…
Col de la Croix Saint-Robert (1451m) par le Mont-Dore (6km500)
Col de la Croix Morand (1401m) par Murol (8km500)
Montée de Super-Besse (1372m) par le lac Pavin (7km)
Montée vers la forêt de Courbanges (1164m) depuis Murol (10km500)
Côte de Saint-Anastaise (1200m) par Besse-et-Saint-Anastaise
1998
Massif du Beaufortain (Savoie)
1998. Après un intermède d’une année, passé, à la mer, sur la côte de basse Normandie, nous voila de retour à la montagne, sur les pentes du col des SAISIES, au CREST-VOLAND.
Beaucoup de cols dans la région. S’il fallait en retenir un, ce serait le magnifique CORMET DE ROSELEND par ARECHES, passant par le difficile col de PRE qui mène au barrage de ROSELEND.
Il y a aussi le col de la CROIX-FRY, dans le MASSIF DES ARAVIS avec ces 13km d’ascension et des passages très durs du côté de MANIGOD (à faire partir de THONES)
Et puis, il faut aller monter ce col très peu connu, l’ARPETAZ, petite route d’alpages, qui nous emmène au pied du mont CHARVIN et considéré comme le plus dur de la région. A la sortie d’UGINE, route d’ANNECY, prendre une petite route de montagne, sur la droite. Vous voilà parti pour 15km de montée tout en lacets et épingles à cheveux, mais attention, ce col fait 1174m de dénivelé…. Pour 15km Vous voilà prévenu. Au sommet vous pouvez continuer cette route d’alpages, donnant de beaux points de vue, avant de redescendre vers UGINE et les GORGES DE L’ARLY (35 à 40km environ). A faire absolument si vous passez dans ce secteur.
Col des Saisies (1650m) par Notre-Dame-de-Bellecombe (14km500)
Col des Saisies (1630m) par le Crest-Voland (15km)
Col des Saisies (1630m) par Villard-sur-Douron (10km)
Col des Saisies (1630m) par Beaufort (14km)
Col des Saisies (1630m) par Hauteluce (14km)
Col du Pré (1703m) par Arèches (8km)
Col du Cormet de Roselend (1967m) par le col du Pré (16km)
Col des Aravis (1486m) par Flumet (5km500)
Col des Aravis (1486m) par La Clusaz (7km500)
Col de la Colombière (1613m) par le Grand- Bornant (10km500)
Col de l’Arpétaz (1581m) par Ugine (16km)
Col de l’Epine (947m) par Marlens (8km)
Col du Marais (837m) par le col de l’Epine (3km)
Col de la Croix-Fry (1467m) par Manigod (13km)
1999
Laruns (Béarn)
1999, retour dans les Pyrénées, cette fois en vallée d’OSSAU, au pied de l’AUBISQUE et ses 18km d’ascension de ce côté (le plus dur).
Sinon, je retiendrais, le col du SOULOR par ARBEOST, d’une douzaine de kilomètres sur une belle petite route aux magnifiques paysages. Une fois arrivé au col, une courte descente vous emmènera dans le très beau CIRQUE DU LITHOR avant le sommet du col de l’AUBISQUE. Vous n’aurez plus qu’à vous faire plaisir dans la longue décente vers LARUNS.
Un autre col que j’ai bien aimé, le col du POURTALET, menant à la frontière espagnole, dans un très beau décor montagnard, avec, en toile de fond, sa majesté le PIC DU MIDI D’OSSAU (2884m), dominant les sommets environnants par sa hauteur et sa forme, reconnaissable entre tous. Un col facile malgré son altitude (1794m) ainsi que sa longueur (29km depuis LARUNS).
Cette année là je participais avec mon fils, Olivier (18ans), à mon 2è Défi Pyrénéen bouclant les 164km du circuit en 6h 05mn à la moyenne de 26,95km, malgré un arrêt à forcé à Sainte-Marie-de-Campan, cause de crampes. Un itinéraire partant, cette fois-ci de BAGNERES-DE-BIGORRRE via le TOURMALET (côté Barèges) ainsi que le col d’ASPIN, pour revenir à BAGNERES ou avait lieu l’arrivée. Quand à Olivier, il finissait, je crois à la 21è place, franchissant le TOURMALET en 11è position.
Col de Marie-Blanque (1035m) par Escot (10km)
Col de Marie-Blanque (1035m) par le plateau du Bénou (11km)
Col du Pourtalet (1794m) par Laruns (29km)
Col de l’Aubisque (1709m) par Laruns (18km)
Col du Soulor (1474m) par Arbéost (12km500)
Col de l’Aubisque (1709m) par le cirque du Lithor (22km500)
Col du Tourmalet (2115m) par Barèges (18km)
Col d’Aspin (1489m) par Sainte-Marie-de-Campan (9km)
2000
Saint-Roman-en-Diois
2000, nous avions loué près de DIE, dans ce beau département qu’est la DROME. Je venais de me faire opérer d’une main, je n’ai donc pas beaucoup roulé cet été là. Malgré ce handicap, j’ai quand même pu monter (d’une main) quelques cols intéressants. De beaux cols, assez faciles, tel, le col du ROUSSET dont le sommet se situe sur le plateau du VERCORS, et puis, le col du MENE et de GRIMONE par CHATILLON-EN DIOIS. Des cols vraiment agréables et à découvrir.
Col de Rousset (1367m) Par Die (21km500)
Col de Grimone (1318m) par Châtillon-en-Diois (13km500)
Col de la Croix-Haute (1179m) par le col du Mené (7km)
Col du Mené (1457m) par Châtillon-en-Diois (16km)
Col de Prémol (964m) par Poyols (9km)
Col de Fays (1051m) par Establet (7km500)
Col de la Rossas (1115m) par Saint-Dizier-en-Diois (3km)
2001
Saint-Ours-les-Roches (Puy de Dôme)
En 2001, nous avions loué une semaine seulement à côté de CLERMONT-FERRAND. Ne nous accompagnait plus maintenant qu’Eric le jeune de mes fils, de 13 ans, ses frères ainés rentrant petit à petit dans la vie active.
Eric et moi, avons tenu à gravir le PUY DE DOME, qui n’est désormais plus accessible aux cyclistes, et le moins que l’on puisse dire c’est que malgré sa courte distance, il est très dur. Eric, du haut de ces 13 ans à du s’arracher ce jour-là pour rejoindre le sommet, mais, plein de bonne volonté, il y est arrivé.
Sinon, je recommande le col de GUERY, menant à la ROCHE TILLIERE et SANADOIRE.Un des plus beaux sites du Massif Central, passant par le beau village d’ORCIVAL. Un col intéressant et assez facile.
Le Puy de Dôme (1465m) (6km)
Col de Guéry (1268m) par Orcival (7km)
Col de Moréno (1065m) par Chamalières (10km)
Col de Moréno (1065m) par Saint-Pierre-Roche (5km)
Col de la Ventouse (980m) par Saint-Pierre-Roche (9km)
2002
Villé (Alsace)
2002, juste une petite semaine en Alsace, ajouté à un été pourri. Résultat, pas beaucoup de vélo. A faire, quand même, le HAUT-KOENIGSBOURG et le MONT-SAINTE-ODILE, surtout pour la beauté de leur site
Col de Steige (534m) par Villé (5km500
Col de la Charbonnière (960m) par le col de Steige (14km500)
Col du Champ du Feu (1100m) par le col de la Charbonnière 16km500)
Montée du Haut-Koenigsbourg (755m) par Sélestat (8km)
Le Mont Sainte-Odile (764m) par Barr (12km)
Col d’Urbéis (602m) par Villé (7km500)
Col de Fouchy (603m) par Lièpvre (7km)
2003
Cauterets (Hautes-Pyrénées)
2003, retour à la haute montagne, à CAUTERETS et à nouveau le plaisir de monter de beaux cols (TOURMALET par Barèges le plus beau côté, le dur HAUTACAM ou encore LUZ-ARDIDEN)
Col du Tourmalet (2115m) Coté Barèges (18km)
Montée de Luz-Ardiden (1735m) par Sazos (15km)
Montée de Hautacam (1616m) par Beaucens (18km)
Montée à la Station de Cauterets (1800m) par Cauterets
Col des Bordères (1156m) par Estaing (10km500)
Col du Soulor (1474m) par Arrens-Massous (8km)
2004
Brides-les-Bains (Massif de la Vanoise)
2004, nous passons de superbes vacances dans le magnifique massif de la VANOISE, ou les grands cols ne manquent pas. Tout d’abord, la très longue montée vers les MENUIRES puis VAL-THORENS (36km depuis Moutier)
Nous avons fait avec les enfants, la montée de la MADELEINE (journée sans voitures) côté la LECHERE, dont les premiers et surtout, les derniers kilomètres de ce côté sont très durs.
Nous nous sommes aussi inscrits à la montée chronométrée de COURCHEVEL 15km jusqu’à l’altiport. Au classement scratch Olivier, (sans trop d’entrainement, ayant consacré l’année à ses études, ponctuées avec succès par un diplôme d’ingénieur) finissait 16è dans un temps de 59 :18 :04. Eric (16ans) 31è en 1h03 :41 et moi (53 ans) 38è et 4è vétéran, en 1h06 :13.
Montée de Courchevel (1850m) par Brides-les-Bains (19km)
Montée de Val-Thorens (2197m) par Moûtiers (36km)
Col de la Madeleine (1993m) par la Léchère (27km500)
Montée de Méribel-Mottaret (1800m) par Brides-les-Bains (21km)
Montée de Pralognan-la-Vanoise (1400m) par Bozel (19km)
Col de la Croix de Feisson (1394m) par Montagny (9km)
2005
Villefort (Lozère)
2005, nous étions à VILLEFORT, au bord du PARC NATIONAL DU MONT LOZERE, ce qui me permettait de voir Daniel et Rémy, deux de mes frères habitant Nîmes. Deux beaux cols à retenir.
Le col du PRE DE LA DAME, par VILLEFORT ou GENOLHAC (Avec une petite préférence par Génolhac)
Le col de FINIELS, qui passe au sommet du mont LOZERE par le BLEYMARD ou LE PONT DE MONTVERT, (et là encore, avec une petite préférence par le Pont de Montvert)
Col de Finiels (1541m) par le Bleymard (11km)
Col de Finiels (1541m) par Pont-de-Montvert (12km)
Col du Pré de la Dame (1450m) par Villefort (13km)
Col du Pré de la Dame (1450m) par Génolhac (12km)
Col de Tribes (1130m) par Altier
Col de Tribes (1130m) par le Bleymard
Col de Valoussière (501m) par Génolhac
Col de la Croix de Berthel (1088m) par Génolhac
Col du Mas de l’Ayre (846m) par Villefort (7km)
Cote de la Garde-Guérin (1000m) par le lac de Villefort (6km)
2006
Bazus-Aures (Hautes-Pyrénées)
2006, nous posons nos valises dans un petit village, tout près de Saint-Lary, dans la vallée d’AURE, que je considère comme la plus belle vallée des Pyrénées, tant pour la quantité des cols environnants, ainsi que pour la randonnée en montagne. De plus, le côté Espagne (Le Monté Perdido, l’envers du cirque de Garvarnie et de Tromouse est magnifique). Autan dire qu’avec mon fils Eric (18ans), en plus des nombreuses randonnées à pied, nous avons écumés tous les cols de la région, dont le très dur PLAT-D’ADET. Pour tout bon cycliste, tous ces cols sont à faire. Je ne les décrirais pas, ce sont tous des cols pour la plupart bien connus.
Le plat d’Adet (1800m) par Saint-Lary (11km)
Col d’Aspin (1489m) par Sainte-Marie-de-Campan (13km)
Col d’Aspin (1489m) par Arreau (13km)
Col de Peyresourde (1569m) par Estarvielle (9,500km)
Col d’Azet (1500m) par Génos (9km)
Col d’Azet (1500m) par Saint-Lary-Soulan (12km)
Col de la Hourquette d’Ancizan (1538m) par Ancizan (12km)
Col de la Houquette d’Ancizan (1538m) par Payole (12km)
Col de la Palombières (810m) par Bagnères-de-Bigorre (6km)
Col de Coupe (720m) par Esparros (6km)
Col de Coupe (720m) par Hèches (3km)
Côte de l’Escaladieu (583m) par Mauvezin (6km)
Côte de Mauvezin – Capvern (606m) par Bagnères-de-Bigorre (7km500)
2007
Briançon (Hautes-Alpes)
2007, nous étions à Villard-Saint-Pancrace, petit village au bas de la ville de Briançon, région souvent très ensoleillée l’été, ou tout est fait pour les cyclistes, les routes principales (Lautaret, Montgenèvre, Izoard ayant un couloir pour tous ceux qui pratiquent ce sport.
Avec Eric, nous avons escaladé tousles cols notés ci-dessous, qui sont tous à faire, sans exception, tel le GALIBIER et l’IZOARD, des cols de légende.
Et si vous vous sentez encore des forces, allez faire le GRANON, ses 12km d’ascension pour un dénivelé de 1070m. Un seul regret, une route en mauvais état, ce qui fait qu’on ne peut trop se lâcher dans la descente.
J’ai aussi fais (cette fois seul) une grosse sortie matinale passant par la dure côte en ligne droite de BRIANCON, pour gravir ensuite le col MONGENEVRE, basculer côté Italien pour me rendre à la station de SESTRIERE, puis faire demi-tour, franchir MONGENEVRE côté Italie, revenir à BRIANCON pour enfin, (vu qu’il n’était que 11h) aller monter l’IZOARD… Belle sortie de 110km.
Col du Lautaret (2058m) par Briançon (13km500)
Col du Galibier (2646m) Le col du Lautaret (7km500)
Col du Granon (2404m) par Saint-Chaffrey (12km)
Col d’Izoard (2360m) par Briançon (21km500)
Col d’Izoard (2360m) par Arvieux (14km500)
Col de Montgenèvre (1854m) par Briançon (13km)
Col de Montgenèvre (1854m) par Césana-Torinèse (9km)
Montée de Sestrière (Italie) (2033m) par Césana-Torinèse (11km)
2008
Louvigné – le Jura –Louvigné
2008, alors tout jeune retraité, le printemps venu, j’entreprenais de faire toute la remontée du JURA 1750km en dix jours en passant par le nord Mayenne et les Alpes Mancelles, puis le 2è jour, laSologne, faisant étape dans la belle ville de Sancerre, perché sur son promontoire au milieu d’un cirque entouré de vignes.
Puis le jour suivant, début des premiers reliefs avec la traversée du MORVAN et l’ascension du mont BEUVRAY dont les derniers kilomètres sur une petite route avec un passage à 20%
Le 4è jour allait s’avérer le plus difficile. Sous une pluie battante et continue, je finissais cette étape, complètement exténué. Le moins que l’on puisse dire, c’est que les monts d’AIN (contrefort du JURA) ne sont pas facile à négocier.Des longues côtes à n’en plus finir (SAINT-AMOUR, SAINT-JULIEN, ARINTHOD, OYONNAX, ECHALLON et pour terminer la journée, le col de BERENTIN (14km) dont le sommet se situe sur le plateau du RETORD ou se trouvait mon gîte.
L’étape suivante était celle du JURA.Un petit regret, celui ne pas avoir monté le GRAND COLOMBIER (dont on dit que c’est l’un des plus durs de France), me réveillant trop tard, après la galère de la veille, je suis passé par le col de RICHEMONT (beau col, mais certainement beaucoup moins dur que le GRAND COLOMBIER). Une étape plus facile que la précédente, malgré quelques bonnes côtes, LELEX, LAJOUX, LAMOURA, MORBIER vers le plateau et la CHAPELLE-DES-BOIS, avant de faire arrêt à METABIEF, un haut lieu du VTT
Le lendemain, parti sous une pluie battante, m’obligeant à raccourcir mon circuit, je suis sorti du JURA à ARBOIS. Retrouvant le soleil pour traverser la BOURGOGNE et me rendre le jour suivant à CRAVANT dans la région d’AUXERRE, chez mon copain, Jacky ou je devais faire étape, m’accordant là, un jour de repos, avant le retour à LOUVIGNE sur des routes assez planes et une étape de 240km l’avant dernière journée. Belle sortie, qui me donnera l’envie de repartir l’année suivante.
Côte du Bouchet (Morvan) (616m) par Moulins-Engilbert (10km)
Mont de Beuvray (Morvan) (821m) par Moulins-Engilbert (6km)
Col des Chèvres (Mâconnais) (419m) par Saint-Gengoux-le-National (3km)
Côte de Saint-Amour (Monts d’Ain) (378m) par Saint-Amour (12km)
Côte de Saint-Julien (Monts d’Ain) (472m) par Saint-Julien (6km)
Côte d’Arinthod (Monts d’Ain) (541m) par Arinthod (10km)
Côte d’Oyonnax (Jura) (612m) par Samognat (4km)
Côte vers Echallon (Jura) (958m) par Oyonnax (8km)
Col de Bérentin (Plateau du Retord) (1144m) par Lalleyriat) (14km)
Col de Richemont (Plateau du Retord) (1036m) par Hotonnes (8km500)
Côte de Lamoura (Jura) 1100m) par Mijoux (9km)
Côte de Morbier – La Chapelle-des-Bois (Jura) (1104m) (10km)
2009
Louvigné – nîmes–Louvigné
Mai 2009, je décidais de repartir, cette fois pour NIMES allé et retour, mon itinéraire passant par les monts d’AMBAZAC et le lac de SAINT-PARDOU, pour faire étape le soir du second jour à SAINT-LEONARD-DE-NOBLAT, (le pays de Poulidor). Traversant ensuite le LIMOUSIN et le massif des MONEDIERES (jamais facile à négociée cette 3è journée casse-patte…), le BARRAGE DE L’AIGLE via le CANTAL, et la belle petite route que j’ai emprunté à la sortie d’AURILLAC, au matin du 4è jour, passant par LABROUSSE, MUR DE BARREZ, le BARRAGE DE SARRANS, avant d’entamer la longue montée vers le plateau de l’AUBRAC, (LAGUIOLE, NASBINALS)et de franchir le très beau col de BONNECOMBE (1350m) encore parsemé de névés, pour redescendre sur la CANOURGUE et, ensuite remonter vers le CAUSSE DE SAUVETERRE et faire arrêt à SAINTE-ENIMIE, au cœur des magnifiques GORGES DU TARN. Une très belle étape, tout comme la suivante. La remontée des GORGES DU TARN par le col de COPERLAC avec (arrêt obligatoire) au point de vue sur le CIRQUE DE SAINT-CHELY, la traversée du CAUSSE MEJEAN, MEYRUEIS et la longue montée vers l’ABIME DE BRAMABIAU et le col de SEREYREDES, dans le MASSIF DE L’AIGOUAL ou mon frère ainé, Daniel était venu à ma rencontre, et de conclure ce trajet aller par le PIC SAINT-LOUP.
Après trois jours passés en famille, retour vers le nord, avec un menu aussi copieux, passant par VILLEFORT et les contreforts du MONT LOZERE, le BARRAGE DE NAUSSAC, la traversée du PLATEAU DE LA MARGERIDE via ISSOIRE, le MASSIF DU MONT DORE et le beau col de la CROIX MORAND, puis la région d’AUBUSSON, de GUERET avant de retrouver des routes plus planes après ARGENTON-SUR CREUSE jusqu’à LOUVIGNE. (1850km environ). Content à chaque fois de regagner mon foyer et en même temps, un peu triste que çà s’arrête là. Mais il y a fin à tout.
Côtes de monts d’Ambazac (Limousin)
Côte du mont Gargan (limousin) (731m) par la Croisille-sur-Briance (7km)
Côte de Chamberet ((Limousin) (535m) par Chamberet (9km)
Côte de Treignac (Limousin) (680m) par Treignac (5km)
Côte du Puy de Messou (Massif des Monédières) (907m) par Treignac (11km)
Côte du barrage de l’Aigle (Auvergne) (556m) par Soursac (4km)
Côte de Labrousse (Auvergne) (806m) par Aurillac (10km)
Côte de Mur-de-Barrez (Auvergne) (803m) par Labrousse (10km)
Côte de Sainte-Geneviève-sur-Argence (Auvergne) (781m) par le barrage de Sarrans (8km)
Côtes des monts d’Aubrac (1100m) (1064m) (1339m)
Col de Bonnecombe (Aubrac) (1350m) par Nasbinals (21km)
Montée du Causse de Sauveterre (Lozère) (947m) par la Canourgue (8km)
Col de Coperlac (Gorges du Tarn) (900m) par Sainte-Enimie (7km500)
Col de Sereyrède (Cévennes) (1299m) par Meyrueis (25km)
Col de la Carnonille (Languedoc) (330m) par Sainte-Bauzille-le Putois (4km)
Le Pic Saint-Loup (Languedoc) (244m) par Saint-Martin-de-Londres (3km)
Côte d’Aujac (Cévennes) (600m) par Bessèges (15km500)
Côte de Villefort (Cévennes) (656m) par Brésis (11km500)
Côte de la Garde-Guérin (Cévennes) par le lac de Villefort (4km)
Côte de Prévenchères (Cévennes) (1057m) par Prévenchères (5km)
Côte de Saint-Christophe-d’Allier (Margeride) (1109m) par le Nouveau Monde (6km)
Côte de Saint Préjet-d’Allier (Margeride) (1120m) par Chambonnet (5km)
Col de la Croix Morand (Puy de Dôme) (1401m) par Murol (11km500)
2008 – 2009
Vernet-les-Bains (Pyrénées Orientales)
2008 et 2009, pour la première fois nous revenions deux années de suite au même endroit, Chantal faisant une cure thermale à Vernet, mais aussi par ce que nous avions été conquis par la beauté et le climat de cette région, au pied du CANIGOU, dont j’ai fais à trois reprises l’ascension à pied.
J’ai aussi monté deux années de suite, tous les très beaux cols qui jalonnent cette région mentionnés ci-dessous.Le long col de JAU, le col de ROQUE-JALERE (très beau col, en face du CANIGOU, qui offre de jolis points de vue sur le massif), le col de MILIERE, passant devant l’Abbaye de SAINT-MICHEL-DE-CUXA, par ou je rentrais de mes sorties autour de PRADES.
Si vous êtes courageux, allez faire le col de MANTET, que je considère comme l’un des plus durs parmi tous les cols que j’ai pu monter. L’accès se fait à partir du village fortifié de VILLEFANCHE DE CONFLENT. A la sortie, route de Mont-Louis, prendre aussitôt à gauche, vous y êtes, et si les 7 premiers kilomètres, qui remontent la vallée, jusqu’à SAHORRE sont faciles, la route devient ensuite plus pentue et serpente dans des gorges assez étroites avant d’atteindre le petit village de PY (km12). Il reste alors 9 kilomètres d’une petite route en lacets, 9 km très durs, sans temps de repos, si ce n’est le dernier kilomètre.
Arrivé là-haut, un arrêt s’impose pour admirer la route par laquelle vous êtes monté avec, 760m plus bas le village de PY et de l’autre côté, la montagne et le petit village de MANTET, que l’on voit à peine, blotti à flan de vallée. 2km500 de descente et vous y êtes, mais il vous faudra remonter… (Moi-même, vu l’impressionnante descente, je n’ai pas eu le courage de m’y rendre à vélo). Il faut imaginer alors l’hiver, ce village enclavé ou l’accès compliqué doit être pratiquement impossible les jours de neige.
Sinon, un circuit que je vous recommande vivement, sur des routes ou vous ne risquez pas de voir beaucoup de voitures (Il faut être du pays pour s’y aventurer, les voitures ne pouvant se croiser que dans les endroits aménagés à cet effet… sujets au vertige, s’abstenir).
Partir d’OLETTE, route de MONT-LOUIS). A la sortie d’OLETTE, prendre à droite, vous partez pour 24km de montée, (dont les premiers 6km sont les plus difficiles, après c’est mieux). Km 2 prendre à gauche, bientôt la route semble taillée dans la roche, d’un côté la muraille, de l’autre le ravin… impressionnant par endroit. Km10 vous arrivez à un carrefour.Une route descend sur l’autre versant de la montagne. Vous avez alors la possibilité de faire ce circuit soit d’un côté, AYGUATEBIA ou de l’autre, par RALLEU (Je l’ai fais des 2 côtés, vraiment, très légère préférence par RALLEU). En continuant tout droit, vous n’aurez plus à chaque intersection à tourner à gauche. Donc, après 15km d’une route toujours aussi étroite, nouveau carrefour, direction RALLEU, 2km après ce village, nouveau carrefour. Prendre à gauche, (ou si vous avez envie d’aller jusqu’au col du CREU (1712m et 3km, de plus assez durs). IL vous faudra alors redescendre à ce carrefour et prendre la direction de CLAUDIES-DE-CONFLENT. 3km après ce nouveau village, au croisement prendre encore à gauche, il ne vous reste plus qu’à redescendre (A moins, là encore que vous poussiez jusqu’au sommet du col de la LLOSE 1866m et 3km de plus) Là encore, il faudra revenir à ce carrefour et descendre sur AYGUATEBIA, joli petit village accroché, à flan de montagne et de retrouver la route du trajet aller par une petite montée assez raide de 1km500 afin de rejoindre OLETTE (50km environ et 62 en escaladant les deux cols). Un petit conseil, prudence dans la descente, la plupart des virages ne sont pas signalés, encore moins les cailloux qui tombent de temps à autre de la paroi sur cette petite route peu fréquentée, mais ce circuit en vaut la peine.
Col de Jau (1506m) par Prades (25km)
Col de Mantet (1761m) par Sahorre (21km)
Col de Roque-Jalère (976m) par Catlar (12km)
Col de Roque-Jalère (976m) par Sournia (13km500)
Col des Auzines (605m) par Sournia (8km500)
Col des Auzines (605m) par Tarérach (4km500)
Col Palomère (1036m) par Baillestavy (18km500)
Col de Llose (1866m) par Olette (Railleu) (34km500)
Col de Llose (1866m) par Olette (Aguatébia-Talau) (28km500)
Col de Milières (842m) par Vernet-les-Bains (5km500)
Col de Milières (842m) par Prades (12km500)
2010
Le Cheylard (Ardèche)
Col de la Croix de Boutières (1506m) par Saint-Martin-de-Valamas (12km500)
Montbrun-les-Bains (Drôme Provençale)
2010, après un arrêt au CHEYLARD, le temps d’une petite sortie sur le PLATEAU ARDECHOIS par le col des BOUTIERES (Beau col au pied du mont MENZENC, point culminant de la région), nous avions opté pour MONTBRUN LES BAINS. Trois semaines dans ce joli petit village médiéval et petite station thermale, entouré de champs de lavande, au pied du VENTOUX.
Autan vous dire que je n’ai pas mis longtemps pour aller me tester sur le mont VENTOUX, d’abord par SAULT, le plus facile, mais digne d’intérêt par la variété de ces paysages. Par MALAUCENE, c’est déjà plus ardu, et par BEDOUIN, la face que l’on dit la plus dure (En ce qui me concerne je mettrais les deux à égalité). Le jour ou j’ai fais l’ascension par BEDOIN, un jour de vent assez fort, j’ai du faire demi tour (forcé) à 2km du sommet, un bon coup de vent m’envoyant de l’autre côté de la route, dans le sens de la descente, avant que je n’ai le temps de comprendre ce qui m’arrivait… Je n’ai donc pas insisté et arrêté là mon ascension.
Sinon la remontée des GORGES DE LA NESQUE à partir de VILLES SUR OZON est très intéressante à faire avec un arrêt au BELVEDERE DE CASTELLARAS, tout comme les randonnées sur le PLATEAU D’ALBION, couvert l’été de champs de lavandes en fleur. Pus loin, la MONTAGNE DE LURE et sa longue montée, en grande partie en forêt (ascensionassez monotone) menant à son sommet.
Pour terminer, je vous recommande ce magnifique circuit au cœur des BARONNIES, dans un sens ou l’autre (Je l’ai fais des deux). Partant de MONTBRUN, prendre la petite route à droite vers AULAN et les GORGES DU TOULOURENC, franchir le petit col d’AULAN. Après 2km de descente on arrive à un carrefour, prendre à gauche vers SAINT-AUBAN-SUR-L’OUVEZE. A la sortie de ce village, prendre une petite route en direction de MONTAUBAN-SUR-L’OUVEZE ou vous arrivez au pied du très beau col de PERTY tout en lacets, long de 9km. Après un petit arrêt au sommet pour le point de vue sur le massif du DEVOLUY, continuez et descendez sur l’autre versant jusqu’à LABOREL. Dans ce village, prendre à droite et monter le col SAINT-JEAN, continuez et redescendez sur le petit village d’EYGALAYES.Continuez afin de rejoindre une route plus large qui vous emmènera à SIDERON.Retour à MONBRUN par le col de MACUEGNE (col que j’ai du monter au moins quatre fois côté MONBRUN). Un petit tour de 86km, sur des jolies petites routes tranquilles.Vraiment, à faire.
Le Mont Ventoux (1909m) par Sault (25km)
Le Mont Ventoux (1909m) par Malaucène (21km)
Le Mont Ventoux (1909m) par Bédouin (21km)
Col de Macuégne (1068m) Par Montbrun (10km)
Col de Macuégne (1068m) par Séderon (7km)
Col de la Pigière (968m) par le col de Macuégne (3km)
Col du Négron (1242m) par le col de la Pigière (6km)
Col Saint-Jean (1158m) par Eygalayes (6km)
Col Saint-Jean (1158m) par Laborel (8km)
Col de Perty (1302m) par Laborel (9km)
Col de Perty (1302m) par Montauban-sur-Ouvèze (12km)
Col d’Aulan (845m) par Gresse (4km)
Col d’Aulan (845m) par Montbrun (6km500)
Signal de la Lure (1826m) par Saint Etienne-les-Orgues (22km)
Côte de Rustrel (8oom) par Rustrel (7km)
Col de l’Homme Mort (1212m) par Ferrassières (6km)
Col de l’Homme Mort (1212m) par le col de Macuégne (4km)
Côte de Ferrassières (885m) par Montbrun (8km)
Col des Abeilles (996m) par Sault (11km)
Col des Abeilles (996m) par Villes-sur-Auzon (9km500)
Remontée des Gorges de la Nesques(734m) par Villes-sur-Auzon (18km)
Belvédère de Castellaras (734m) par les gorges de la Nesques (4km)
Le Pas du Ventoux par Veaux
Col de Fontaube (635m) par Eygaliers (5km)
Col des Aires (634m) par le col de Fontaube (2km500)
2011
Bagnères de Luchon (Pyrénées)
Juillet 2011, j’avais choisi de passer trois semaines à BAGNERES DE LUCHON, endroit idéal pour monter des cols et peaufiner ma forme, en vue de mon tout premier PARIS-BREST-PARIS, un mois plus tard.
En pleine condition physique cette année là, je me suis imposé quelques sorties de 200km et plus, passant par plusieurs cols, dont certain, très longs, tel le col de la BONAIGUA dans le VAL D’ARAN culminant à 2072m jusqu’à ESTERRI-D’ANEU en Espagne, et ses 23 km d’ascension au retour (total 210km)
Sinon je recommande la très belle montée à la station de SUPER-BAGNERES, les courts, mais durs col du PORTILLON, de MENTE, du PORTET-D’ASPET, ou, plus facile PEYRESSOURDE, le plus dur étant le PORT DE BALES par MAULEON-BAROUSSE, une longue montée sur une route très étroite avec des passages à fort pourcentage (emprunté deux fois par le tour de France). Tous ces cols sont à faire
Montée de Super-Bagnères (1800m) par Bagnères-de-Luchon (19km)
Col du Portillon (1320m) par Bagnères-de-Luchon (9km500)
Col du Portillon (1320m) par Bossot (Espagne) (8km500)
Col de la Bonaigua (Espagne) (2072m) par le Val d’Aran (17km)
Col de la Bonaigua (Espagne) (2072m) parEsterri-d’Aneu (23km)
Col de Mente (1349m) par Saint-Béat (9km)
Col de Mente (1349m) par le Couret (10km)
Col du Portet-d’Aspet (1069m) par Laubague (5km)
Col de Buret (618m) par Juzet-d’Izeau (3km)
Col de Buret (618m) par Sengouagnet (3km)
Col des Ares (797m) par Fronsac (8km)
Col des Ares (797m) par Juzet-d’Izeau (6km)
Le port de Balès (1755m) par Mauléon-Barousse (18km)
Le port de Balès (1755m) par Bagnières-de-Luchon (22km)
Col de Peyressourde (1569m) par Bagnières-de-Luchon (14km)
Col de Peyressourde – Station de Peyragudes (1700m) par Bordères-Louron (12km500)
2012
La Chambre (Vallée de la Maurienne)
Juillet 2012, trois semaines de vacances en MAURIENNE, vallée aux cols mythiques, que je rêvais depuis longtemps de faire. Tous ces longs cols qui ont vu maintes fois passer les coureurs du tour de France.MADELEINE, GLANDON, CROIX DE FER, et un petit nouveau, tout aussi dur le CHAUSSY qu’il faut gravir par les lacets de MONTVERNIER, en face SAINT-JEAN-DE-MAURIENNE.
Si vous êtes courageux, il faut faire ce circuit passant par le col du TELEGRAPHE, VALLOIRE, le superbe GALIBIER (un des plus beaux cols qu’il m’a été donné de franchir), et entamer la longue descente sur BOURG-D’OISANS passant par le LAUTARET, puis revenir par le GLANDON (Vraiment casse-patte de ce côté) (160km environ).
Sinon, je vous recommande une petite montée bien sympathique à partir de SAINT-JEAN-DE-MAURIENNE vers le village de VILLARGONDRAN ou commence l’ascension de ce col facile et tout en lacets allant à ALBIEZ-LE-JEUNE, via le col du MOLARD. A faire
Col de la Madeleine (1993m) par la Chambre (20km)
Col de la Madeleine (1993m) par Montgellafrey (20km)
Col du Chaussy (1532m) par Montaimont (15km)
Col du Chaussy (1532m) par Montvernier (15km)
Col du Glandon (1924m) par Sainte-Marie-de-Cuines (22km)
Col de la Coix de Fer (2067m) par le col du Glandon (4km) + 22 = 26km)
Col de la Croix de Fer (2067m) Par Saint-Jean-de-Maurienne (32km)
Col du Glandon (1924m) par Allemont (29km)
Col du Télégraphe (1566m) par Saint-Michel-de-Maurienne (11km500)
Col du Galibier (2646m) Par Valloire (17km)
Montée de la Toussuire (1637m) par Saint-Jean-de-Maurienne (16km)
Col du Molard (1638m) par Saint-Sorlin-d’Arve (7km500)
Col du Molard (1638m) par Villargondran (15km)
Col de Champ-laurent (1000m) par Chamoux-sur-Gelon (10km)
Col du Grand Cucheron (1188m) par le col de Champ-Laurent (4km) +10
2014
Souraïde (Pays Basque)
Printemps 2014, cinq jours au pays BASQUE et une seule sortie passant par le col (roulant) de LIZARRIETA, en faisant un petit tour côté Espagne et rentrer par une route à peine goudronnée avec des pentes assez sévères… Ouf, content de revenir en France.
Col de Lizarrieta (441m) par Sare (11km)
Collado d’Esquisaroy (Espagne) (518 m) par Etxalar (10 km)
Col de la Pinodièta (176m) par Ainhoa (5km)
2015
Saint-Pierre-Dels-Forcats (Pyrénées Catalanes)
Juin 2015. Là encore, privilégiant les randonnées en montagne, très peu de sorties vélo. Je tenais malgré tout aller monter le PORT DE PAILHERE et son sommet à 2001m. (Malgré un maillon récalcitrant, ma chaine ayant coupé au cours du trajet aller, je ne peu pas dire qu’il m’a donné beaucoup de mal). Cela dit c’est un col à faire, de préférence côté MIJANES.
Je n’ai pu m’empêcher de descendre à OLETTE par le col de la LLOSE, pour refaire ce circuit découvert en 2008 et 2009, lors de nos séjours à VERNET-LES-BAINS, afin de remonter les 23km menant au col du CREUX (voir description 2008 – 2009) et de revenir par le superbe plateau du CAPSIR.
Col de Quillane (1713m) par Mont-Louis (6km)
Col de Quillane (1713m par Formiguères (4km)
Port de Pailhères (2001m) par Mijanes (12km500)
Montée à la Station de Font-Romeu (2000m) par Odeillo (10km)
Col de la Llose (1866m) par Mont-Louis (6km)
Col de Creu (1712m) par Olette (23km)
2016
Bourg-Saint-Maurice
Des cols interminables, à l’image de l’Iseran qui est vraiment un gros morceau avec ses 2764m d’altitude. Sinon il faut faire le très beau Cormet de Roselend que je préfère côté Bourg-saint-Maurice avec la jolie vallée des Chapieux ou domine le Glacier des Aiguilles, faisant partie de la chaine du Mont-Blanc. Reste la difficile montée de la Plagne le plus souvent entre 8 et 9% et le petit Saint-Bernard avec ses 30km en pente régulière entre 5 et 6%, montée somme toute assez facile.
Col du petit Saint-Bernard (2188m) par Bourg-Saint-Maurice (30km)
Montée de la Plagne (2000m) par Aime (20km)
Col du Cormet de Roselend (1967m) par Bourg-Saint-Maurice (20km)
Col du Cormet de Roselend (1967m) par Beaufort (20km)
Col de l’Iseran (2764m) par Bourg-Saint-Maurice (48km)
2017
A la faveur d’une cure de 3 semaines à Lamalou-les-Bains,j’ai pu renouer avec les beaux cols de cette région découvert il y a 27 ans ( en 1990). Je ne vais pas recommencer à vous les décrire, je veux quand même souligner que cette région avec ces multitudes de petites routes tranquilles est vraiment idéale pour faire du vélo. Pendant mon séjour, j’ai roulé avec quelques cyclos du club de Bédarieux avec qui j’ai pu mieux découvrir des routes que je n’aurais certainement pas empruntées si j’avais été tout seul. Des mecs à tous point de vuesympathiques à qui j’ai donné d’ors et déjà rendez-vous pour 2018.
A souligner quand même ce petit col (sans nom, Fargayras ?)Magnifique montée tout en lacets à partir de Lamalou (400m de dénivelé). A la sortie de Lamalou prendre tout droit le pont qui enjambe la rivière l’Orb. Sitôt ce pont franchi prendre à droite, vous y êtes, à part les lacets c’est tout droit. Vous partez pour une dizaine de km. de montée et au bout de 8km. Environ, on arrive sur un plateau. Au croisement, en face du village de Plaussenous, tournez à gauche. Il vous reste environ 2km. Avec un superbe point de vue un peu avant le sommet sur votre gauche.
Il ne vous reste plus qu’à redescendre par l’autre versant par les villages de le Lau, le Pin,( Attention, descente assez technique et piégeuse par endroits) AVieussant à droite jusqu’au pont qui retraverse l’Orb et revenir par la route principale (60km environ) Plus dur dans le sens inverse.
En Juillet, à l’occasion de l’étape du Tour, j’ai pu faire l’ascension du col de Vars dont les 5 derniers km sont terribles (inédit pour moi)et monter le non moins dur col de l’izoard dans des décors somptueux et par un temps magnifique
Col de Fargayras ? (613m) par Lamalou-les-Bains (10km)
Col des treize Vents (600m) par Hérépian (10km)
Col des Treize Vents (600m) par Saint-Gervais-sur-Mare (5km)
Col de l’Espinouse (1119m) par Lamalou-les-Bains (24km)
Col de Fontfroide (971m) par Cambon (4km)
Col de l’Espinouse (1119m) par Cambon (12km)
Côte des Demoiselles Coiffées (1049m) par Savines-le-Lac (5km)
Col de Vars (2109m) par Jausiers (15km)
Col de l’Izoard (2360m) par Arvieux (15km)
2018
Dès la première semaine de cette 2è année de cure à Lamalou-les-Bains, je me suis empressé d’aller gravir mon col fétiche, le Sommet de l’ESPINOUSE, malgré un temps plutôt frais (surtout là haut) Autant vous dire qu’après ces 24 km de descente, frigorifié, je n’était pas mécontent d’être arrivé en bas. Sinon j’ai à quelque choses près fait les mêmes cols qu’en 2017 avec quelques inédits tel le dur col de CABARETOU, de Castanet-le-Haut ou du Coustel.
C’est un plaisir de rouler dans cette belle région ou, par ailleurs, les routes sont le plus souvent parfaitement bitumées. Mais attention, ce n’est pratiquement jamais plat.
Montée de Plaussenous (613m) par Lamalou-les-Bains (10km)
Montée de l’Espinouse (1119m) par le col des Princes (24km)
Montée du Village de Cabanet-le-Haut (619m) par Andabre (6km)
Col de Pierre Plantée (509m) par Lamalou-les-Bains (9km)
Col de la Merquière (372m) par le Mas Blanc (7km)
Col de Cabaretou (941m) par Saint-Pons-de-Thomières (10km)
Col de la Banne (1003m) par le col de Cabaretou et la route des lacs
Col de Frontfroide (971m) par Fraisse-sur-Agout (4km)
L’Espinouse (1122m) par Cambon (10km500)
Col des Treize Vents (600m) par Hérépian (13km500)
Col de la Croix de Mounis et du Coustel (880m) par Saint-Gervais-sur-Mare (8km)
Col Notre-Dame (667m) par Cénomes (5km)
Col de l’Homme Mort (670m) par Ceilhes-et-Rocozels (5km)
Montée vers Le Pin – Le Lau (613m) par Vieussan (10km)
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